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Interprétation Quantique
26 janvier 2016

Le "Flow" ... c'est "divin" !

« Dans notre conscience, à chacun de nous, c’est l’évolution qui s’aperçoit elle-même en se réfléchissant »

                                             Pierre Teilhard de Chardin

Le « flow » c’est dire « oui » ! …au courant créatif qui nous traverse.

C’est un flux bienheureux car juste.

Flow, en français : flux, courant est issu du latin « fluxus » et désigne un déplacement caractérisé par une origine, une destination et un projet.

Être au courant. Être dans le courant.

Le « flux » est défini comme une expérience optimale.

C’est la capacité d’harmoniser le Dedans et le  Dehors.

Le flow serait la liaison réussie, bienheureuse d’une intention et de sa réalisation.

Déclenchement, conscience et action à l’unisson. Le flow est la sensation où action et plénitude de la conscience fusionnent.

Faire Un avec son action. Abolition de l’égo.

La plénitude des moyens mentaux et les aptitudes à les réaliser se développent dans un droit fil de la pensée originelle.

Pourrions-nous dire que c’est « l’inscription corporelle de l’esprit » qui se manifeste ?

Cet épanouissement absolu peut se produire soit lors d’une lecture, soit en cours d’écriture, soit en chantant, en méditant… soit lors d’épreuves sportives. Le temps est aboli au profit d’une présence totale à ce que l’on fait ou ce que l’on est.

Alignement et présence conjugués.

Pour ma part j’appelle cela : Eclat d’être ; certitude de vie sous forme de fulgurance.

« L’instant est une particule concédée par le temps et enflammée par nous » René Char

 L’approche psychologique ne suffit pas à expliquer la puissance du flow comme sentiment d’appartenance au grand Tout.

Pierre Teilhard de Chardin soutenait « Plus j’y pense, plus je serais psychologiquement incapable de faire le plus petit effort si je ne pouvais croire à la valeur absolue de quelque chose dans cet effort ».

La  reconnaissance de ce flux positif, Flow,  suppose un retour sur la notion d’influx nerveux qui parcourrait l’univers avant de venir s’implanter dans la cellule neurale nommée Terre. Une réduction d’onde se serait produite libérant ainsi un message ciblé.  Nous en serions les traducteurs.

Cet influx nerveux informé se propagerait en effectuant un échange latéral entre les hémisphères inaccessibles du vaste univers dans lequel nous vivons. L’influx nerveux qui stimule nos cellules serait construit en analogie.

L’influx  se diffuse en une force agissante. Il est aussi le processus d’une transmission, d’une conduction, d’une excitation au long des fibres nerveuses comme l’influx nerveux cosmique emporte avec lui une connaissance subtile universelle.

Cet échange latéral unissant l’invisible et le visible trouverait son relais, son implantation et son expression dans l’influx nerveux qui irrigue notre structure corticale.

Ainsi notre « antenne » intérieure s’alignerait  sur le courant initiateur.

Une computation symbolique et inconsciente se serait déployée jusqu’à atteindre le stade qui se métamorphose en possibilité expressive, phénoménologique.

Le flux porteur « serait descendu » à l’aplomb, et la clôture en serait  optimale : expression optimale … « divine » de nos dons ?   

Pourrait-on dire que le flow est la réceptivité et la traduction bienheureuses de cet influx qui, parti de zones virtuelles, vient contacter les dispositions intérieures d’un être apte à le recevoir. Ses dispositions vibrent dedans-dehors à l’unisson, puis s’écoulent jusqu’à leur juste et joyeuse conclusion.

L’homme est le point pivot de l’expression universelle et de la vibration  quantique dont il est le représentant.

«  In rebus prosperis et ad voluntatem nostram fluentibus » Cicéron

«  Quand les événements sont heureux et ont un cours conforme à nos désirs  »

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