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Interprétation Quantique
17 avril 2016

Être dans le vif du sujet

«  Dis : de quoi as-tu pris soin ? À quoi as-tu livré passage ?  »

                              Christiane Singer

Ne plus être seulement spectateur mais acteur magnétique.

Prendre soin des informations subtiles qui nous parviennent. Accueillir l’intuition. 

Livrer passage aux vibrations infiniment brèves porteuses de vie.

Les relations vibrantes des « grains » quantiques élémentaires auraient donné naissance au temps, à l’espace, à l’information, à la lumière et aux structures existantes, de même elles auraient fait émerger notre structure cérébrale qui en retour…de l’autre côté de l’univers, renverrait l’image de l’organisation archétypale de cet Univers matriciel.

Cet univers matriciel, réservoir et « grand bassin » vibratoire, aurait programmé dans son développement magistral, à la fois quantique, structurel et systémique  l’apparition de « l’outil » qui permettrait d’élaborer ce fait de relation entre cerveau et univers : la structure corticale et sa « mécanique ». Cette structure permet d’élaborer la puissance systémique à l’œuvre dans l’univers relationnel dont la Vie est le prix superbe.

Se fermer à cette approche de la connaissance est aussi se fermer au système d’échanges qui sont tous, en eux-mêmes, des révélations d’une parcelle de la pensée cosmique.

Il n’est pas question ici d’introspection. Introspection dans le sens de : regarder à l’intérieur, examiner mentalement.  Il est question de prendre soin des questions qui visent une probabilité de dispositif intérieur agissant à l’intérieur de notre boite crânienne.  Ces questions visent une amplitude systémique à la qualification des démarches aussi bien scientifiques que métaphysiques.

Le sujet observateur, qui est le facteur déclenchant d’étude,  fait partie de la relation indissociable de l’objet de ses attentions.

Notre cerveau serait l’instigateur et l’observateur des phénomènes qu’il traque. C’est en son pouvoir d’en faire une lecture systémique. Pourtant, il n’est jamais fait mention de la structure immanente qu’est notre outil cortical.

Il s’agit de ne plus être diverti mais averti…que nous sommes complètement impliqués dans tous les phénomènes observés. Nous sommes liés au Tout.

L’implication (vue comme intrication) dont notre cerveau serait l'émetteur impressionné en recevrait le signal et l'empreinte. A lui d'identifier et de qualifier sa valeur systémique.

Notre structure corticale a pour mandat de sonder et d’accueillir le mouvement universel. Interrogation et méditation sont des postures appartenant au genre humain. Sait-on si l’insecte médite ?

Ainsi notre corticalité est habilitée à soulever la question de notre présence au sein de cette immensité. C’est sa caractéristique spécifique. C’est son génie. Elle abriterait notre conscience qui serait elle-même construite sur le modèle d’une grande conscience à l’œuvre dans cet univers pensant où nous avons vu le jour.

« On en arrive à la conclusion que l’univers pourrait fonctionner comme un vaste cerveau » déclare Philippe Guillemant, physicien chercheur en méthodes de traitement de l’information.

Notre structure « cogitante », notre cerveau  (de cogito, cogitare, en latin : penser, évoquer par la pensée,  méditer) est informée des relations subtiles qu’elle entretient en tant que canal avec l’univers. Un système de réseaux les renvoie ensuite dans les profondeurs de notre être. Encore faut-il que la question du Vivant-en-Soi puisse pénétrer les consciences de chacun d’entre nous dans le but de fluidifier notre rapport à l’univers.

Pour l’approche traditionnelle, la connaissance ancestrale du cerveau dans ses relations avec la matrice universelle ne parait pas une incongruité.

L’information quantique nourrie dans le grand cerveau qu’est l’univers aboutirait, suivant l’antenne que nous sommes, dans notre cortex par la simultanéité d’une conversion en temps et espace. Elle se compacterait  dans notre enceinte crânienne dont les différentes cellules conduisent les opérations vers les réseaux ciblés des différentes aires de traitement de l’information.

Ainsi chacun d’entres nous vibre et répond différemment aux sollicitations des cycles d’information qui parcourent l’univers. Le dévoilement de certaines subtilités mature longtemps avant qu’une éclosion dans la conscience collective puisse enfin avoir lieu.

Ces cheminements deviennent perceptibles à certaines sensibilités scientifiques.

Ces implications systémiques ne peuvent être encore caractérisées.

Le profond changement se situe dans une zone de perception qui permettrait de comprendre que les mots du sujet qualificateur et ce qui est qualifié sont issus de situations systémiques en perpétuelle naissance.  Ces mouvements profonds intriqués (c'est-à-dire partageant la même onde quantique) entre l’univers en soi qu’est la structure vibrante-corticale, reliée à l’univers vibrationnel-macroscopique sont possibles par l’attractivité de l’anticipation.

Il n’y aurait plus à se poser la question d’un réel objectif mais des situations systémiques et réelles convoquées.

« La seule chose existante, c’est la relation, le tissu vibratoire de la relation. »

Christiane Singer

 

 

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