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Interprétation Quantique
4 juillet 2015

Petit aparté

Petit aparté

Petit aparté : t’es type à part !

Conversation discrète tenue à l’écart, censée n’être entendue que par certaines personnes.

Lieu libre. Accueil de ses possibles pensées.

Jeu libre… de déterminer ce qui fait sens pour moi.

Les réseaux de la pensée naïve c'est-à-dire près de la naissance impulsent des joies de chercheur.

Comme l’écrit Soeren Kierkegaard « …, et aucune pensée n’est assez absurde pour que je n’ai pas le courage de la retenir ».

La bienveillante ouverture de la question m’amène à m’interroger et à considérer le bassin psychique de l'époque qui a vu naître la dimension quantique.

Comment cette dimension s’implante-t-elle dans l’esprit du monde contemporain ?

Est-t-elle émergeante dans différents points de la terre sans qu’aucune concertation n’est encore eu lieu ?

A quel moment commence-t-elle à émerger dans la psyché collective occidentale ?

Est-ce que la notion de synchronicité ainsi que la théorie quantique moderne, qui apparaissent  dans les années 1920-1930, ne livrent pas déjà une nouvelle connaissance ?

La synchronicité, notion archétypale, ne se retrouve-t-elle pas dans les différentes approches que sont les travaux sur l’ordre implicite, le champ morphogénique, le champ akashique ou l’ordre caché ?

L’invisible, imprégné de potentialités pures, archétypes transcendants, non pas dans le sens mystique mais dans le sens non perceptible (au-delà de l’entendement) serait abordé par l’interprétation quantique du XXème siècle comme phénomène d’un état superposé.

Une inspiration comme une absorption respiratoire capterait puis implanterait dans les couches cellulaires du néocortex une information issue d’une réduction d’onde. Transportée et transformée, métabolisée  pour s’inscrire dans l’immanence. Immanence : qualité d’une cause qui agit sur ce dont elle fait partie (Larousse)

En fonction de l’antenne corticale et mentale qu’est notre fonctionnement cérébral,  cet état de potentialités s’actualiserait donc. Actualisation permise grâce à la réduction d’onde qui accompagne tout phénomène visible.

Ainsi le phénomène synchronistique pourrait s’expliquer par l’intrication quantique psychique de différentes conditions humaines dont le cortex cérébral (comme un vortex) serait informé simultanément et traduirait ainsi une nouvelle donnée d’information.  

Cet accent mis sur le "discontinu" initierait un changement profond de paradigme sur la question de la conscience.
Ainsi la mécanique quantique enregistre des états" chaotiques" de non localité. D’état de superposition, de champ de probabilités qui peuvent souligner l'appel à sortir du déterminisme et de la causalité pour aborder le champ de la conscience pure.

Le rôle de l'humain comme interface peut à nouveau être posé sur un plan métaphysique.
L'observateur modifierait le champ observé et l'onde visée deviendrait une particule qui elle-même ne serait qu'un champ de probabilité.

Notre cerveau formé à la causalité s'est créé des circulations neuronales qui entretiennent le niveau limbique. Emotionnel.
Le limbique  se nourrit de mental et  est souvent dans une incapacité à vivre la vibration directe et informée dont notre corticalité a besoin.
Dans un champ vibratoire en mouvement  il y a toujours un temps suspendu, un discontinu qui permet à l'information de s'implanter.
Cette information serait liée à la notion de Conscience pure, de grande Pensée à l’œuvre.
Pouvons-nous refuser cette notion quand nous n’appréhendons qu’1% de matière quantifiée alors que 99% de l'Univers, informé comme un grand cortex à l’œuvre,  nous échappe ?

La théorie quantique indiquerait-elle le dévoilement progressif d'une nouvelle donne de la conscience ?
Pointerait-elle  l'émergence  d'un nouveau  fonctionnement de notre cerveau ?
Cerveau quantique : cerveau éveillé. Ce cerveau  conscience  nous permettrait d’aborder l'Univers quantique dont nous sommes porteurs.
Par les sauts quantiques et ses "quantas" paquets de lumière pulsée, la physique quantique ne se cramponne plus à la notion d'objet, de causalité mais elle appartient au domaine de la relation donc de l'Être.
L'Interface est inattendue et libre. Elle est enregistrée par l'Être qui s'affranchit des registres connus.

Et puis, après tout un physicien célèbre ne disait-il pas "si vous croyez comprendre la mécanique quantique c'est que vous ne la comprenez pas". Prenons ce « pré-texte » pour ouvrir immensément la Question.

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